Yawning is the most
commonly reported
premonitorysymptom
among migraineurs
The authors describe the frequency and number of
premonitory symptoms (PS) in migraine, the co-occurrence
of different PS, and their association with
migraine-related factors.
In this cross-sectional study, a validated
questionnaire was sent to Finnish migraine families
between 2002 and 2013 to obtain data on 14 predefined PS,
migraine diagnoses, demographic factors, and migraine
characteristics. The estimated response rate was
80%.
Out of 2714 persons, 2223 were diagnosed with
migraine. Among these, 77% reported PS, with a mean
number of 3.0 symptoms compared to 30% (p<0.001) and
0.5 symptoms (p<0.001) among 491 persons with
non-migraine headaches. Yawning was the most commonly
reported symptom (34%) among migraineurs. Females
reported PS more frequently than males (81 versus 64%,
p<0.001) and experienced a higher number of different
symptoms (mean 3.3 versus 1.8, p<0.001). All measures
of migraine severity were associated with a higher burden
of PS. Light and sound sensitivity showed the highest
co-occurrence (kappa = 0.51, 95% CI 0.47-0.55).
In a generalized linear model, age, gender, higher
frequency, duration and intensity of headache, reduced
working capacity, most aura symptoms, and associated
symptoms of the headache phase were significantly
associated with an increased in the number of PS. PS are
experienced by a majority of migraineurs.
More severe migraine is associated with a higher
burden of PS. Since the material was not entirely
representative of the general population of migraineurs,
caution should be exercised in generalizing the
results.
Le
bâillement est le symptôme
prémonitoire le plus fréquent chez les
migraineux
Les auteurs décrivent la fréquence et
le nombre de symptômes prémonitoires (PS)
dans la migraine, la co-occurrence de PS
différents, et leur association avec les facteurs
liés à la migraine.
Dans cette étude transversale, un
questionnaire validé a été
envoyé aux familles de migraineux finlandais entre
2002 et 2013 pour obtenir des données sur 14 PS
prédéfinis, le diagnostic de la migraine,
les facteurs démographiques et les
caractéristiques de la migraine. Le taux de
réponse est estimé à 80%.
Sur 2714 personnes, 2223 ont été
diagnostiqués atteints de migraine. Parmi ceux-ci,
77% ont déclaré un PS, avec un nombre moyen
de trois symptômes pour 30% d'entre eux (p
<0,001) et 0,5 symptômes (p <0,001) chez les
personnes souffrant de céphalées et
non-migraineux (491).
Le bâillement est le symptôme le plus
fréquemment rapporté (34%) chez les
migraineux.
Les femmes ont déclaré plus
fréquemment un PS que les hommes (81 contre 64%, p
<0,001) et connaissent un plus grand nombre de
symptômes différents (moyenne de 3,3 contre
1,8, p <0,001). Toutes les mesures de
sévérité de la migraine ont
été associées à un fardeau
plus élevé de PS.
La lumière et de la sensibilité aux
bruits se sont montrées les plus
élevés de la co-occurrence (kappa = 0,51,
IC 95% 0,47 à 0,55). Dans une graduation,
l'âge, le sexe, la fréquence plus
élevée, la durée et
l'intensité des maux de tête, une
capacité de travail réduite, la plupart des
symptômes d'aura, et les symptômes
associés de la phase des
PS sont vécues par une majorité des
migraineux. Plus la migraine est sévère
plus elle est associée à un nombre plus
élevé de PS.
The temporal organization of masculine sexual
behavior in rats is highly stereotyped; involving a
sequence of mounts, intromissions and ejaculations.
Sexual behavior has been described in exogamic and
genetically manipulated rodent species. In this work, the
authors compare the male sexual behavior of outbred
Sprague-Dawley (SD) to those of rats inbred for high
(HY)- and low (LY)- spontaneous yawning
frequency.
In the first experiment, the percentage of
inexperienced rats' ejaculatory behavior is significantly
lower in the HY and LY respect to Sprague-Dawley rats.
The latency to ejaculate for inexperienced HY was shorter
than the LY and SD rats.
In the second experiment, the authors examined the
differences between inbred sublines and Sprague-Dawley
rats once the subjects had become sexually experienced
after four copulatory sessions. HY rats still have slower
proportion of ejaculators respect to LY and SD rats.
Additionally, postejaculatory latencies were longer
for HY rats, with longer intercopulatory intervals and
higher number of copulatory bouts that delayed
ejaculation. Both sublines show lower copulatory
efficiency respect to SD rats.
In conclusion, both sublines show alterations in the
temporal organization of sexual motor pattern that are
due at least partially to strong inbreeding process to
select them.
Fréquence
des bâillements et sexualité des rats
mâles
L'organisation temporelle du comportement sexuel des
rats mâles est très
stéréotypée, comportant une
séquence de montures, intromissions et
éjaculations.
Ce comportement sexuel a été
décrit dans les espèces de rongeurs
exogames et manipulés
génétiquement.
Dans ce travail, les auteurs comparent le
comportement sexuel des mâles Sprague-Dawley (SD)
à ceux des rats consanguins
sélectionnés pour exhiber une grande (HY)
et une basse (LY) fréquence de
bâillements spontanés.
Dans la première expérience, le
pourcentage de comportements éjaculatoires des
rats inexpérimentés est significativement
plus faible, respectivement chez les rats HY et LY
Sprague-Dawley.
La latence d'éjaculation des
inexpérimentés HY était plus courte
que celles des rats LY et SD.
Dans la deuxième expérience, les
auteurs ont examiné les différences entre
les lignées consanguines et les rats
Sprague-Dawley, une fois que les sujets étaient
devenus sexuellement expérimentés
après quatre séances de copulation.
Les HY rats ont encore une proportion
d'éjaculateurs plus lents rapport à des
rats LY et SD.
En outre, les latences post-éjaculatoires
étaient plus longues pour les rats HY, avec des
intervalles plus longs intercopulation et plus grand
nombre de tentatives de copulation qui ont retardé
l'éjaculation. Les deux lignées montrent
une efficacité de copulation diminuée par
rapport à des rats SD.
En conclusion, les deux lignées HD et SD
montrent des modifications dans l'organisation temporelle
du comportement sexuel qui sont dues au moins
partiellement au processus de consanguinité
utilisé pour les sélectionner.
Repeated daily treatments of perinatal rats with the
dopamine D2-receptor (D2-R) agonist quinpirole for a week
or more produces the phenomenon of 'priming'-gradual but
long-term sensitization of D2-R. In fact a daily dose of
quinpirole as low as 50 µg/kg/day is adequate for
sensitizing D2-R.
Primed rats as neonates and in adolescence, when
acutely treated with quinpirole display enhanced
eating/gnawing/nursing on dams, also horizontal locomotor
activity. Between 3 and 5 weeks of age, acute quinpirole
treatment of primed rats produces profound vertical
jumping with paw treading-a behavior that is not observed
in control rats.
At later ages acute quinpirole treatment is
associated with enhanced yawning, a D2-R-associated
behavior.
This long-term D2-R supersensitivity is believed to
be life-long, despite the relatively brief period of D2-R
priming near the time of birth. D2-R supersensitivity is
not associated with an increase in the number or affinity
of D2-R, as assessed in the striatum of rats; nor is it
induced with the D3-R agonist 7-OH-DPAT. However,
quinpirole-induced D2-R supersensitivity is associated
with cognitive deficits, also a deficit in pre-pulse
inhibition and in neurotrophic factors, and low levels of
the transcript regulator of G-protein signaling (RGS)
RGS9 in brain; and acute reversal of these alterations by
the antipsychotic agent olanzapine.
In sum, rats ontogenetically D2-R supersensitized
have face validity, construct validity and predictive
ability for schizophrenia.
le
bâillement comme outil en
pharmacologie
Les traitements répétés
quotidiennement de rats en période
périnatale avec l'agoniste dopaminergique D2
(D2-R), le quinpirole, pendant une semaine ou plus,
produisent le phénomène de «
priming-gradual », et à long terme une
sensibilisation des récepteurs D2-R.
En fait, une dose quotidienne de quinpirole aussi
faible que 50 pg / kg / jour est suffisante pour
sensibiliser D2-R.
Les rats nouveau-nés comme ceux à
l'adolescence, quand ils reçoivent une dose
unique, montrent un accroissement de l'appétit et
des comportements de ronger et de materner, et aussi un
accroissement de leur activité locomotrice.
Entre 3 et 5 semaines d'âge, le traitement au
quinpirole, d'une seule dose, de rats
pré-traités à la naissance, produit
des sauts verticaux avec des mouvements de
piétinement, c'est à dire un comportement
non observé chez les rats témoins.
A un âge plus avancé, le traitement
unidose par quinpirole est associé à une
augmentation de la fréquence des des
bâillements, un comportement
D2-R-associé.
Cette D2-R hypersensibilité est
considérée comme persistante tout au long
de la vie, en dépit de la période
relativement brève du traitement initial
après la naissance.
La D2-R hypersensibilité n'a pas
été associée à une
augmentation dans le nombre ou l'affinité des
récepteurs D2-R, telle qu'évaluée
dans le striatum de rats. Elle n'est pas comparable
à celle induite par l'agoniste D3-R 7-OH-DPAT.
Cependant, cette hypersensibilité est
associée à des déficits cognitifs,
aussi à un déficit d'inhibition des
impulsions. Elle réduit des facteurs
neurotrophiques, et conduit à de faibles niveaux
de régulation de la transcription de la
signalisation des protéines G (RGS) RGS9 dans le
cerveau. L'inversion brutale de ces modifications est
obtenue par l'olanzapine, un antipsychotique.
En somme, ce travail valide le concept que
l'acquisition de récepteurs D2-R ultrasensibles
est un facteur prédictif de risque de
schizophrénie.
Becky Wiseman
the 6th Edition of Smile For the Camera
a Carnival of Images
The subject of the portrait is William F. Waters,
known as "Uncle Billy" to the locals in the town of
Mantachie here in Itawamba County. William F. Waters was
born July 18, 1839 in Georgia