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samedi 1 novembre 2008
la lettre d'information du site baillement.com N°73
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Yawning and thermoregulation
Gallup AC, Gallup GG Jr.
Department of Biological Sciences, Binghamton University. State University of New York
Physiol Behav
2008;95(1-2):10-16
 
 
Yawning as a brain cooling mechanism: nasal breathing and forehead cooling diminish the incidence of contagious yawning
Gallup AC, Gallup GG Jr.
www.epjournal.net
2007;5(1):92-101
 
REM sleep related increase in brain temperature: a physiologic problem.
Parmeggiani PL.
Arch Ital Biol.
2007;145(1):13-21.
 
De la propriété hypnotoxique des humeurs développée au cours d'une veille prolongée
Legendre R, Piéron H.
C.R. Société de Biologie de Paris
1912; 70; 210-212
 
 
Experimental detection of a cervical arousal mechanism of yawning, enhancing intracerebral (CSF) fluid pressure
Bouyssou M, Tricoire J.
J Dental Res
1985; 64; 721
 
Remarques sur la signification physiologique du bâillement
 Lepp FH.
Bull Group Int Rech Sci Stomtol Odontol
1982; 25; 251-290
 
voir la lettre N°64
 
 
Gallup AC, Miller ML, Clark AB
Yawning and thermoregulation in budgerigars Melopsittacus undulatus
Animal Behav 2009;77(1):109-113

Yawning and cerebral thermoregulation
 
Brain's activity never stops. The brain is one of the most metabolically active tissues, generating large amounts of heat. Dissipating this heat as well as heat absorbed from the environment has been a major evolutionary hurdle neccessary for the continuated brain's development. It seems that the evolution of emissary veins ((ritia mirabilia = vascular network in the scalp and face remove heat from brain) solved this problem.
 
Brain cooling mechanisms has been described during fever to protect brain's tissues and its activities. Altough, except during fever, the brain temperature remain constant; thus how explain that yawning would be necessary for bain cooling? That is what Gallup & Gallup challenge to do.
 
Metabolic heat production in the brain of a homeotherm is high relative to that of other tissues, while cerebral tissue is particularly prone to damage by hyperthermia. The continuous removal of heat from the brain by the circulating blood normally eliminates the risk of overheating. When general core temperature rises, however, the brain temperature also rises. Since the limit to the tolerable rise in core temperature appears to be that of the brain, any means of locally cooling the brain would increase heat tolerance. Such brain cooling is known to occur in panting mammals which possess a carotid rete cooled immediately before it enters the brain by close contact with the cool venous blood returning from the nasal evaporative surfaces and other peripheral tissues of the head. Even in those panting mammals which lack a carotid rete, some brain cooling occurs. Since the human does not possess a carotid rete and does not pant, it has been assumed that no such local cooling of brain tissue can occur.
 
All mammals, those with a carotid rete and those without it, show the same anatomical arrangement at the base of the brain. There, where the arteries that supply the brain with blood enter the cranial cavity, large reservoirs of venous blood are found. Known as the yenous sinuses, the reservoirs receive blood from veins both outside and inside the skull. One of the reservoirs is known as the cavernous sinus; in mammals that have no rete the internal carotid arteries run through the cavernous sinus on their way to the circle of Willis. In animals that have a rete the arterial plexus either lies inside the cavernous sinus or is associated with a similar plexus of venous blood vessels that is connected to-the cavernous sinus.
 
Gallup & Gallup review a growing body of medical and physiological evidence which seem indicate for them that yawning may be a thermoregulatory mechanism, providing compensatory cooling when other provisions fail to operate favorably. Conditions such as multiple sclerosis, migraine headaches, epilepsy, stress and anxiety, and schizophrenia have all be linked to thermoregulatory dysfunction and are often associated with instances of atypical yawning. Excessive yawning appears to be symptomatic of conditions that increase brain and/or core temperature, such as central nervous system damage, sleep deprivation and specific serotonin reuptake inhibitors. Yawning is also associated with drowsiness, and subjective ratings of sleepiness are correlated with increases in body temperature. This view of yawning has widespread application for the basic physiological understanding of thermoregulation as well as for the improved diagnosis and treatment of diseases associated with abnormal thermoregulation.
 
The researchs of Cabanac M. and Brinnel H. as reported by G & G relate to the control of the cerebral temperature during the fever. There is no work (to my knowledge) indicating that the cerebral activity modifies the internal temperature of the brain in a variable way according to the level of attention. Functional MRI studies in humans have shown that even when the brain is not engaged in any specific tasks, spontaneous fluctuations occur in the blood-oxygen-level dependent (Bold) signal (which is thought to reflect neural activity). These resting state fluctuations are not chaotic but are in fact anatomically and temparally consistent. The significance of this resting state activity is unclear but, intriguingly, it even occurs when humans or animals are unconscious. Thus, spontaneous fluctuations in brain activity maintain the brain in constant temperature somehow the step of neuronal activities (Vincent JL. et al.).
 
ritia mirabilia
 
Bâillement et thermorégulation cérébrale
 
L'activité cérébrale ne cesse jamais. Le cerveau est l'organe qui a la plus importante activité métabolique de l'organisme, générant ainsi un dégagement thermique. Dissiper cette chaleur, ainsi que l'échauffement propagé à la boite crânienne par l'environnement, a été une nécessité majeure au cours de l'évolution, permettant aussi l'expansion cérébrale. Il semble que c'est le développement de réseaux veineux (ritia mirabilia) du scalp et de la face qui a permis d'acquérir cette régulation thermique efficace.
 
Des mécanismes de refroidissement du cerveau ont été décrits au cours de la fièvre afin de protéger le tissu cortical et son fonctionnement. Or, en dehors de la fièvre, la température du cerveau reste stable. Comment expliquer que le bâillement soit nécessaire au refroidissement du cerveau ?
 
L'activité métabolique cérébrale des homéothermes est plus élevée que celle d'autres tissus, alors même que les neurones sont plus menacés par une hyperthermie. C'est la circulation sanguine continue qui apparaît comme moyen d'élimination de la chaleur générée. Quand la fièvre s'élève, un système physiologique permet l'élimination des calories ainsi dégagés. Ce mécanisme de refroidissement cérébral est connu chez certains animaux possédant un retia mirabilia qui abaissent l'élévation thermique en haletant. Ce système abaisse la température du sang avant sa pénétration dans la boite crânienne grâce au contact étroit entre les voies respiratoires supérieures et ce réseau artério-veineux. Bien que l'homme ne possède ni ce réseau ni ne halète, il est supposé exister chez lui aussi un mécanisme de refroidissement cérébral.
 
Tous les mammifères, avec ou sans ritia mirabilia, possèdent une anatomie comparable de la base du crâne. Des sinus veineux larges et importants reçoivent du sang intra et extra-crânien. L'un de ces "réservoirs" est le sinus caverneux. Chez les animaux sans rete, les carotides traversent ce sinus caverneux avant de rejoindre le cercle de Willis. Chez les animaux avec rete, le plexus artériel traverse soit le sinus caverneux soit est associé à un plexus veineux similaire connecté au sinus caverneux.
 
Gallup & Gallup ont passé en revue un nombre élévé de données médicales et physiologiques qui leur semblent indiquer que le bâillement est, peut-être, un mécanisme de refroidissement du cerveau. en particulier quand d'autres mécanismes sont dépassés. Ils avancent que, d'une façon ou d'une autre, la SEP, la migraine, l'épilepsie, le stress et l'anxiété, la schizophrénie, ont un lien avec une perturbation de la themorégulation corticale, expliquant l'apparition de bâillements pathologiques. Le bâillement, témoin de la fatigue, serait secondaire à la somnolence attribuée à une élévation de la température corporelle.
 
Les recherches de Cabanac M. and Brinnel H., telles que rapportées par G& G, décrivent les régulations de la température cérébrale au cours de la fièvre. Il n'existe pas de travaux (à ma connaissance) montrant que l'activité cérébrale modifie sa température interne, de façon variable, suivant différents niveaux d'attention. Les explorations d'IRM fonctionnelle ont montré que même lorsque le cerveau n'est pas engagé dans une activité précise, des fluctuations spontanées de la consommation de l'oxygène sanguin apparaissent, assimilées au reflet de l'activité neuronale. Ces fluctuations n'ont rien de chaotique mais ont une logique anatomique et temporelle. La signification de cette activité basale n'est pas actuellement clairement établie, mais elle persiste intrinsèquement chez l'homme ou l'animal inconscient. Ainsi, des fluctuations spontanées de l'activité cérbrale maintiennent le cerveau à une température constante quelque soit l'intensité de l'activité neuronale (Vincent JL. et al.).
 


Induction of tolerance of dopaminergic responses in man
Lal S, Thavundayil JX, Ng Ying Kin NM,
Dai X, Schwartz G, Montoya A.
J Neural Transm
2008;115(8):1189-1198
 
Ontogenetic quinpirole treatment produces long-lasting decreases in the expression of Rgs9, but increases Rgs17 in the striatum, nucleus accumbens and frontal cortex
Maple AM, Perna MK, Parlaman JP, Stanwood GD, Brown RW.
Eur J Neurosci.
2007;26(9):2532-258
 
Adulthood olanzapine treatment fails to alleviate decreases of ChAT and BDNF RNA expression in rats quinpirole-primed as neonates
Brown RW, Perna MK, Maple AM, Wilson TD, Miller BE.
Brain Res.
2008;1200:66-77.

Yawning reflect sensitization and tolerance of dopaminergic function
 
Schizophrenia may reflect a sensitization of dopaminergic (DA) function. Apomorphine (Apo), a DA receptor agonist, induces both sensitization and tolerance of DA function in rodents depending on dose intervals. Lal and al. investigated sensitization and tolerance to Apo in healthy male volunteers.
 
After a period of acclimatization to the experimental setting (Day 1) subjects were assigned randomly to two groups: Group A subjects received seven injections of placebo (physiological saline) (PLA) and Group B subjects received seven injections of Apo HCl (7 mug/kg sc) under double-blind conditions at 2 h intervals commencing at 09 30 hours (Day 2) after an overnight fast. Twelve hours after the seventh injection, i.e. on Day 3, after an overnight fast all subjects received an injection of Apo. Serial samples of blood commencing at 09 00 hours were drawn after the first and last injection in both groups for assay of growth hormone (GH), prolactin (PRL) and cortisol by radioimmunoassay; sleepiness was measured using the Analog Sleepiness Rating Scale and yawning recorded by video recorder.
 
The GH response in Group B (N = 8) was (a) decreased after the eighth injection of Apo compared with the first injection of Apo (P = 0.03) and (b) decreased after the eighth injection of Apo compared with the first injection of Apo in Group A (N = 10) (P = 0.001). The number of yawns in Group B was significantly decreased after the eighth injection of Apo compared with the first injection of Apo (P = 0.042). PRL, cortisol and sleepiness were not significantly different between the first and eighth injection of Apo. Sensitization was not observed in any of the measures studied. These results are compatible with induction of acute tolerance of DA-mediated GH and yawning responses.
 
The method used provides a safe pharmacological paradigm to examine plasticity of DA mechanisms in man. Results are discussed in the context of possible therapeutic implications for schizophrenia.
 
Le bâillement reflet de la sensibilisation et la tolérance à la fonction dopaminergique
 
La schizophrénie peut témoigner d'une sensibilisation à la fonction dopaminergique. L'apomorphine, agoniste dopaminergique, induit à la fois sensibilisation et tolérance chez le rat par des injections espacées répétées. Lal et ses collègues ont étudié les mêmes phénomènes chez des hommes sains volontaires. Le comptage du nombre des bâillements semble permettre de mesurer cette sensibilisation. Ainsi des injections espacées et répétées d'apomorphine diminuent peu à peu le déclenchement des bâillements induits, témoignant d'un effet de tolérance.

Le bâillement de l'hippopotame
Monographie éthologique de l'hippopotame
René Verheyen
Bruxelles
1954

The yawn of the hippopotamus
 
All the hippopotamus make a characteristic yawn. The first form of hippopotamus'yawn is possibly linked with the evacuation of gases due to the fermentation of food in the stomach. But the complete yawn is, in fact, only exhibited by male adults. The first phase consists in spreading the neck in the continuation of the line of the back, in opening the mouth half and to remain so immovable during some moments. Often the set of teeth of the lower jaw does not appear to the surface of the water and thus do'nt draw hardly the attention.
 
This is the incomplete yawn such as execute it females, young people and males subadultes. Of the first phase, the male adult often passes in the second, which consists in raising the head over the level of the back, in spreading jaws most widely possible, in discovering the set of teeth and then in making execute in the head a circular movement, what constitutes the end of the complete yawn. This can be made by all the male adults, but there is another considerable difference, between the degree of space, jaws, from an individual to the other one. It seems that yawning differenciate with the age of the animal and its size. The complete yawn observes especially towards the nightfall to the males which looked for the isolation and which have a high social rank.
 
The fight
 
The fight is entirely a part of the social behavior of the hippopotamus. The hierarchy are established, indeed, strictly according to the results of the fights that the members of the clan are frequently engaged between them, and in which intervene the style, the weight, the development of the set of teeth, as well as the experience and the temperament (boldness, stamina, opportunity).....
 
Two subjects approach, stop, scatter their excrements and yawn....
In one or two meters of distance, they stop suddendly, yawn and nod of the head....
 
 
Le bâillement de l'hippopotame
 
Tous les hippopotames effectuent un bâillement caractéristique. Il est vraisemblablement en rapport avec l'évacuation des gaz dus à la fermentation des aliments dans l'estomac. Mais le bâillement complet n'est le fait que des mâles adultes. La première phase consiste à étendre le cou dans le prolongement de la ligne du dos, à ouvrir la bouche à moitié et de rester ainsi immobile pendant quelques instants. Souvent la dentition de la mâchoire inférieure n'apparaît point à la surface de l'eau et de ce fait n'attire guère l'attention.
 
Il s'agit du bâillement incomplet tel que l'exécutent les femelles, les jeunes et les mâles subadultes. De la première phase, le mâle adulte passe souvent à la deuxième, qui consiste à lever la tête au-dessus du niveau du dos, à écarter les mâchoires le plus largement possible, à découvrir la denture et ensuite à faire exécuter à la tête un mouvement circulaire, ce qui constitue la fin du bâillement complet. Ceci peut être effectué par tous les mâles adultes, mais il existe encore une différence notable, entre le degré d'écartement, des mâchoires, d'un individu à l'autre. Il se conçoit qu'il est en fonction de l'âge de l'animal, donc de la taille. Le bâillement complet s'observe surtout vers la tombée de la nuit chez les mâles qui ont recherché l'isolement et qui ont un rang social élevé.
....
Le combat
 
Le combat fait intégralement partie du comportement social de l'hippopotame. Les hiérarchies sont en effet rigoureusement établies d'après les résultats des joutes que les membres du clan se livrent fréquemment entre eux et dans lesquelles interviennent le style, le poids, le développement de la denture, ainsi que l'expérience et le tempérament (audace, endurance, opportunité).....
 
Deux sujets s'approchent, s'arrêtent, dispersent leurs excréments et bâillent ....
A un ou deux mètres de distance, ils s'arrêtent net, bâillent et fauchent de la tête ....

An evolutionary psychology of sleep and dreams
 
McNamara P.
Praeger Ed
Westport. USA
2004
p59-60
 
Costly Signaling Theory of REM Sleep and Dreams
McNamara P.
Evolutionary Psychology
www.epjournal.net
2007. 5(1): 28-44

Yawning
In primates, yawning may be contagious or a signal meant to synchronize sleep times. Yawning is associated with sleepiness and appears to occur in all mammals and in some birds, and may even occur in reptiles. Yawns are involuntary openings of the mouth, inspiration of a breath, closing of the eyes, and stretching of torso and limbs. Like REM sleep, yawning is associated with cholinergic excitation and dopaminergic inhibition. Oxytocin and testosterone infusions can induce yawns as well. Interestingly, when oxytocin is injected into paraventricular nucleus or the hippocampus, it induces both\yawning and penile erections. Yawning occurs in the fetus and throughout the life span.
 
In humans, at least one form of yawning is contagious-just the sight of another person yawning can trigger a yawn, suggesting a social function for yawning. When yawning functions as a signal (as in the case of contagious yawning), then t may acquire costly traits (placing the yawner in a vulnerable position, etc.). In that case, receivers will tend to use the signal to infer the current status of the -sender. According to costly signaling theory, the yawn would then convey a message that implies that the sender is currently handicapped ("I am not fully aroused and my attentional skills are flagging, etc., and therefore I am vulnerable"). But it is far from clear whether such an analysis helps us to understand the functions, if any, of contagious yawning. A far more likely explanation is that the contagious yawn serves to synchronize sleep behaviors of a group of primates.
 
Comparative data on other forms of (noncontagious) yawning in relation to sleep variables are lacking and thus not much can be said about their functions and potential relation to sleep. Nevertheless, the yawn's wide taxonomic distribution in the animal kingdom suggests an ancient lineage as well as an important functional relationship with sleep states. It would be interesting to know whether manipulations of yawning (i.e., inhibiting or enhancing rates of yawning) have systematic effects on either REM or NREM (or both). It would further be interesting to know whether yawning occurs in species with little or no REM.

The York Open Reading Frame

A blog : "Yawning makes you cool " by Menelaos Symeonides

Presse papiers
Bronze sur marbre
fin XIX°


Petites misères de la vie humaine
Le bâillement
Grandville
1846
pdf

grandville
En historien fidèle, je dois dire que le bâillement dont on vient de lire l'exposé des motifs avait sa source dans un sommeil prématurément interrompu. Toutefois, il était à peine né viable, et, réduit à lui-même, aurait pu passer pour un simple soupir; mais, ainsi qu'un fleuve, sorti ruisseau des rochers où il prend naissance, grossit ensuite insensiblement, grâce à des affluents ignorés, de même le bâillement en question dut à la mention des deux courses, chez la couturière et chez le père Gringuet, de ne pas mourir en bas âge.
 
L'espoir d'une visite à l'huissier lui communiqua une vigueur nouvelle. La perspective de passer deux heures devant les tableaux de Versailles, tête à tête avec un enfant de huit ans, déterminant le mouvement nerveux dont j'ai parlé, développa chez lui une longévité inattendue. L'idée du dîner préparé empêcha les mâchoires de reprendre leur position naturelle; et, lorsque s'annonça le bal de famille, avec anticipation de musique forcée, elles semblèrent acquérir une puissance de distension dont on ne les aurait jamais crues capables.

Le bâillement, du réflexe à la pathologie Le bâillement : de l'éthologie à la médecine clinique Le bâillement : phylogenèse, éthologie, nosogénie  Le bâillement : un comportement universel La parakinésie brachiale oscitante Yawning: its cycle, its role Warum gähnen wir ?   Fetal yawning assessed by 3D and 4D sonography Le bâillement foetal Le bâillement, du réflexe à la pathologie Le bâillement : de l'éthologie à la médecine clinique Le bâillement : phylogenèse, éthologie, nosogénie  Le bâillement : un comportement universel La parakinésie brachiale oscitante Yawning: its cycle, its role Warum gähnen wir ?   Fetal yawning assessed by 3D and 4D sonography Le bâillement foetal http://www.baillement.com

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 au 31 octobre 2008
 
 
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Nombre de questionnaires remplis : 3268
Combien de fois bâillez-vous par jour ? <5 = 23,9%.. 5-10 = 24,3%.. 10-15 = 15.2%.. 15-20 = 9,7%.. >20 = 26,8%
Ressentez-vous des baillements excessifs ?
59,9% = non, tant mieux
32,9% = oui et je ne sais pas pouquoi
8,3% = oui et je prends des antidépresseurs
1% = oui et je prends des anti-épileptiques
5,4% = oui et je prends d'autres médicaments
2,5% = oui et j 'ai des troubles neurologiques
2,3% = oui et j 'ai des troubles hormonaux
1,7% = oui et j 'ai des tics moteurs
1,6% = oui et j 'ai des tocs
déclenchez-vous facilement le bâillement d'autrui ? 75%
êtes-vous sensible au bâillement d'autrui ? 71,8%
 
Galileo Galilei
 
The goal of science is not to open the door to everlasting wisdom, but to set a limit on everlasting error.
 
Le but de la science n'est pas d'atteindre une sagesse éternelle mais de fixer une limite à l'erreur permanente.
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le Dr Walusinski
 
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