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samedi 1er mai 2004
la lettre d'information du site baillement.com N°29
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gilles de la tourette
Nécrologie de Gilles de la Tourette
Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière
Henry Meige
1904, T 17
 
Gilles de la Tourette
Paul Legendre
Plon-Nourry 1905
pdf
 
Georges Gilles de la Tourette
Life and work
H. Kramer (pdf)
gilles de la tourette
 
Contribution à l'étude des bâillements hystériques
G Gilles de la Tourette, Huet, Guinon
Nouvelle iconographie de La Salpêtière
1890, T 3
 
Etudes cliniques et physiologiques sur la marche
Delahayre et Crosnier ed Paris 1886
 
L'hypnotisme et les états analogues au point de vue médico-légal
Plon, Nourrit ed Paris 1887
 
Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie d'après l'enseignement de la Salpêtrière
Plon, Nourrit ed Paris 1891
 
Les états neurasthéniques
JB Baillière ed Paris 1898
 
Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du système nerveux
G Gilles de la Tourette
Plon, Nourrit ed Paris 1898
 
Formes cliniques et traitement des myélites syphilitiques
G Gilles de la Tourette
Plon, Nourrit ed Paris 1899
 
Etude sur une affection caractérisée par l'incoordination motrice accompagnée d'écholalie et de coprolalie
(Jumping, Latah, Myriachit)
G Gilles de la Tourette
Arch Neurol
1885; 19-42 et 158-200
 
La maladie des tics convulsifs
G Gilles de la Tourette
La semaine médicale
1899; 19; 153-156 (pdf)
 
Georges Gilles de la Tourette:
the man and his Times
A.J. Lees
Revue neurologique
1986; 142; 11; 808-816
 
Gilles de la Tourette and
his syndrome by serendipity
H. Stvens
Amer J Pyschiat
1971; 128; 489-492
 
La maladie de Gilles de la Tourette
à l'occasion du centenaire de la description princeps
M Dugas
Le Concours Médical 1985; 107; 26; 2543-2550
 
 A functional neuroanatomy of tics in Tourette syndrome
E Stern, D Silbersweig
Arch Gene Psychiatry 2000; 57; 741-74

brouiilet-charcot
JM. Charcot semble s'adresser à G. Gilles de la Tourette dans ce tableau de A.Brouillet en 1887
JM. Charcot seems to speech to G. Gilles de la Tourette in this 
Death centenary of Georges E. Gilles de la Tourette
on 24 may 1904
 
Georges Albert Edouard Brutus Gilles de la Tourette (1857-1904), one of Charcot's favourite pupils and his self-appointed amanuensis made several valuable contributions to medicine and literature. His most substantial achievements were in the study of hysteria and the medico-legal ramifications of hypnotism, but he was also a competent neuropsychiatrist with a particular interest in therapeutics. He was a dynamic, passionately outspoken man whose prodigious literary output reflected his own restless compulsions as well as the interests of his beloved chiefs Brouardel and Charcot. His love of Loudun, his ancestral home strongly influenced his subject matter which included a biography of Theophraste Renaudot and with his colleague Gabriel Legué a perceptive analysis of Sœur Jeanne des Anges account of her hysterical illness induced by her unrequited love for the Loudun priest Urbain Grandier. In 1893 shortly after the tragic death of his young son and of his mentor Charcot, Gilles de la Tourette was shot by a deluded woman who had been a patient at the Salpêtrière. Her claims that she had been hypnotised by Gilles de la Tourette against her will causing her to lose her sanity bore a macabre resemblance to the accusation of Sœur Jeanne des Anges against Grandier. The bizarre episode became a « procès célèbre » seeming superficially to vindicate the Nancy School's views that criminal suggestion was possible under hypnotism, a view Gilles de la Tourette had vehemently rejected. Despite his colourful life and varied achievements only an incomplete biographical account by his friend Paul le Gendre, a few informative orbituaries and some caustic sketches by Leon Daudet exist. (Georges Gilles de la Tourette: The Man And His Times A.J. Lees, Revue neurologique 1986; 142; 11; 808-816)
autographe
Centenaire de la mort de Georges E. Gilles de la Tourette
le 24 mai 1904
 
Georges Albert Édouard Brutus Gilles de la Tourette (1857-1904), un des élèves favoris de Charcot, a fourni une contribution intéressante à la médecine et à la littérature. Ses écrits ont été essentiellement consacrés à l'étude de l'hystérie et aux conséquences médico-légales de l'hypnotisme. Pourtant, C'était aussi un neuro-psychiatre compétent ayant un intérêt particulier pour la thérapeutique. Chez cet homme dynamique et passionné, la production littéraire abondante résultait probablement de l'hyperactivité incessante, aussi bien que de l'intérêt de ses patrons bien-aimés, Brouardel et Charcot. Son amour pour Loudun, son lieu d'origine, a largement influencé son œuvre qui comprend une biographie de Théophraste Renaudot et, avec son collègue Gabriel Legué, une analyse du tableau hystérique de Sœur Jeanne des Anges, et de son amour non récompensé pour le prêtre Urbain Grandier. En 1893, peu après la fin tragique de son jeunefils et de son mentor Charcot, une de ses malades de la Salpêtrière lui tira une balle de révolver. Il y avait une macabre ressemblance entre les déclarations de cette femme qui prétendait avoir été hypnotisée par Gilles de la Tourette contre son gré et l'accusation de Sœur Jeanne des Anges contre Grandier. Il s'ensuivit un procès, resté célèbre, qui a été interprété, notamment par l'École de Nancy, comme une criminalité déclenchée par hypnotisme, une vue que Gilles de la Tourette rejeta de manière véhémente. En dépit de son existence colorée et de son œuvre variée, les données biographiques sur Gilles de la Tourette sont pauvres. Son ami, Paul Le Gendre a fourni quelques aperçus malheureusement incomplets de sa vie ; quelques histoires caustiques ont été rapportées par Léon Daudet. (Georges Gilles de la Tourette: l'homme, son temps A.J. Lees, Revue neurologique 1986; 142, 11; 808-816)
 
nouvelle iconographie salpetriere
 
Etude sur une affection caractérisée par l'incoordination motrice accompagnée d'écholalie et de coprolalie :
 
« Le traitement de cette singulière affection, ou tout au moins son traitement radical est encore à instituer. On peut, en effet, en lisant nos observations, remarquer combien de procédés curatifs ont été infructueusement tentés; tous les sédatifs du système nerveux ont échoué. Une seule méthode a paru amender les symptômes et amener ces périodes de rémission si favorables : l'isolement, combiné avec les reconstituants de toutes sortes, préparations de fer, hydrothérapie. Les malades ont également paru se trouver bien de l'emploi prolongé de l'électricité statique combinée avec l'hydrothérapie et l'isolement, mais ce ne sont là que des adjuvants; peut-être peuvent-ils retarder l'évolution de la maladie, surtout lorsque les malades sont traités de bonne heure. Toutefois, nous ne saurions conclure à ce sujet; et nous craignons bien que la prédiction de Beard " Une fois sauteur, toujours sauteur ", ne reçoive ultérieurement de nouvelles confirmations. Quant à la nature intime de l'affection, que dire en l'absence de toute donnée anatomopathologique ? On pourrait, en s'aidant des ressources de la psychologie, essayer d'interpréter quelques symptômes, nous préférons, pour notre part, renvoyer ceux qui voudraient tenter cette interprétation au livre si intéressant de M. Ribot, sur les maladies de la volonté. »
G Gilles de la Tourette Arch Neurol 1885; 19-42 et 158-200
 
The founder of French 'scientific' psychology: Théodule Ribot (1839-1916).

no
 
NO as a signalling molecule
in the nervous system
Esplugues Juan V
British Journal of Pharmacology
2002; 135; 1079-1095
 
«The discovery that nitric oxide (NO) functions as a signalling molecule in the nervous system has radically changed the concept of neural communication. Indeed, the adoption of the term nitrergic for nerves whose transmitter function depends on the release of NO or for transmission mechanisms brought about by NO emphasizes the specific characteristics of this mediator. The physical properties of NO prevent its storage in lipid-lined vesicles and metabolism by hydrolytic degradatory enzymes. Therefore, unlike established neurotransmitters, NO is synthesized on demand and is neither stored in synaptic vesicles nor released by exocytosis, but simply diffuses from nerve terminals. The distance of this NO diffusion (40 Ð 300 µm in diameter) implies that structures in the vicinity of the producing cell, both neuronal and non-neuronal, are influenced following its release. This suggests that, as well as acting as a neurotransmitter, NO has a neuromodulatory role. In addition, it diffuses into rather than binds with protein receptors on adjacent cells, and most of its known actions are the consequence of interplay with intracellular targets that would usually be regarded as secondary messengers. The activity of conventional neurotransmitters is terminated either by re-uptake mechanisms or enzymatic degradation while inactivation of NO follows reaction with a substrate. There are multiple points at which biological control can be exerted over the production and activity of conventional neurotransmitters. However, control of the synthesis of NO is the key to regulating its activity.»
NO
Activation of nNOS in the CNS. Release of glutamate activates NMDA receptors (NMDAr), and the consequent flux of Ca2+ entering the ion channel activates nNOS, which is linked to the receptor via the postsynaptic density protein PSD-95. It is possible that NO bioactivity feeds back to control the presynaptic neuron and the activity of the channel. The protein CAPON is thought to be selectively associated with nNOS and regulates NO formation in neurones.
 
 
 
 

Yawning and nitric oxide (NO)
 no
Penile erection and yawning are two different behavioural patterns that often occur concomitantly in physiological and experimental conditions. Depending on the context in which penile erection occurs, different neural and/or humoral mechanisms may participate in its regulation. Yawning alone or associated with stretching is considered an ancestral vestige, surviving through evolution, that subserves the purpose of arousal, although its role is not entirely certain.
 
Among substances that induce both these responses the best known are dopamine receptor agonists, oxytocin, adrenocorticotropin and related peptides, N methyl-D-aspartic acid and serotonin receptor agonists. Interestingly, the paraventricular nucleus of the hypothalamus (PVN) seems to play a key role in these behavioural responses when they are induced by the dopamine receptor agonists, N-methyl-D-aspartic acid and oxytocin, but not when they are induced by adrenocorticotropin or serotonin receptor agonists.
 
Dopamine agonists, NMDA and oxytocin given at doses that induce yawning, increase NO production in the PVN. Conversely, the opiate morphine, which prevents yawning induced by dopamine agonists, oxytocin and NMDA, also prevents the increase in the paraventricular NO production induced by these compounds.
 
NO donors, such as nitroglycerin, sodium nitroprusside and hydroxylamine, induce yawning when injected into the PVN apparently by activating oxytocinergic transmission. Nitric oxide (NO) acts as an intracellular rather than an intercellular modulator inside the paraventricular hypothalamic nucleus (PVN) oxytocinergic neurons in which NO is formed to facilitate the expression of this phylogenetically old stereotyped event.
 
 
Bâillements et oxyde nitrique (NO)
 
L'érection pénienne et le bâillement sont deux comportements qui apparaîssent fréquemment simultanément de façon physiologique ou expérimentalement. Suivant les circonstances au cours desquelles l'érection pénienne apparaît, différents mécanismes neuronaux et/ou humoraux interviennent dans sa régulation. Le bâillement isolé ou associé avec des étirements est considéré comme un vestige ancestral, survivant au travers de l'évolution, et qui participe à la stimulation de l'éveil, bien que cette fonction ne soit pas complètement certaine.
 
Parmi toutes les substances qui induisent érection pénienne et bâillement, les plus connues sont les agonistes dopaminergiques, l'ocytocine, l'ACTH et différents peptides, le NMDA, les agonistes sérotininergiques. Plus précisément, le noyau paraventriculaire de l'hypothalamus (PVN) semble jouer un rôle clé dans ces réponses comportementales quand elles sont induites par les agonistes dopaminergiques, le NMDA et l'ocytocine mais pas quand elles sont induites par l'ACTH ou les agonistes sérotoninergiques.
 
Les agonistes dopaminergiques, le NMDA et l'ocytocine, donnés à des doses qui déclenchent les bâillements, accroissent la production d'oxyde nitrique (NO) dans le PVN. A contrario, les opioïdes qui empêchent l'induction des bâillements par les agonistes dopaminergiques, le NMDA ou l'ocytocine préviennent également l'augmentation de la production de NO dans le PVN.
 
Les donneurs de NO comme la nitroglycérine, le nitroprussiate de Na, ou l'hydroxylamine induisent des bâillements quand ils sont injectés dans le PVN, apparemment en activant la transmission ocytocinergique. NO agit plutôt comme modulateur intracellulaire que comme médiateur intercellulaire, en particulier au sein des neurones ocytocinergiques du PVN où le NO est formé pour faciliter l'expression de ce comportement stéréotypé ancien.

monkey mirror
Behaviour of monkeys
towards mirror-images
Hall KL
Nature
1962; 196; 1258-1261
guiraud-riviere
Maurice Guiraud-Rivière 1920
(1881 - ?)
 
An 8-year longitudinal study of mirror self-recognition in chimpanzees
M de Veer, D. Povinelli
Neuropsychologia
2003; 41; 229-234

Behaviour of monkeys towards mirror-images
 
Systematic observational or experimental studios of the behaviour of captive monkeys and apes towards their mirror-images or reflexions or to other mirrored objects or animals are, however, lacking. The present investigation arose as a result of preliminary observations of so-called 'imitation' and 'social facilitation' in four patas monkeys, Erythrocebus patas. [...]
 
The behaviour seen consisted of a variety of observing responses, such as standing on hindlegs, crouching low to the ground with head held low and staring, and of cautious approach towards the partition. In addition, the young female, in particular, frequently made 'gaping' or 'yawning' responses in which, while staring towards the reflexion, she lowered the head while opening the mouth to fullest extent, then raised the head again to the normal horizontal position. This reaction would occur with the animal in the sitting, normal standing, or low-crouched postures, and in partial form (for example, opening wide of the mouth without lowering of the head) as well as in the complets form described. The significance of this reaction, its variation in form and in circumtances of occurrence, and its relations to other behaviour components of the species'repertoire have yet to be fully worked out, so that the term 'yawning', to be used hereafter, is simply a usefully descriptive one.[...]
 
The typical behaviour of the two young when given the small hand-mirror separately in their cages, has consisted of a wide variety of investigatory behaviour, such as peering close up to it, licking at its surface, chewing the edge of it, pawing at its surface, picking it up and holding it in one hand or both hands, usually close up to the face, and sometimes putting one hand round to the back of the mirror as though trying to touch the reflected object. Both these animals have also frequently looked obliquely into the mirror, either when holding it up, or when it is lying flat on the ground, and on one occasion the young female 'yawned' while thus looking, and then immediately turned and 'yawned' at the observer whom she had apparently viewed in the mirror.[...]
 
The behaviour of the animals, whon confronted with the mirror separatoly and at distances of 3, 6 or 9 ft. from the front of the cage, indicated a high degree of tension. Typically, the adult male stood with body tensed, or sat with his back straight and his head alert, staring into the mirror and 'yawning' repeatedly with the mouth gaping open wide and the head going low towards the ground. The head then tended to jerk back to the normal gazing position. On the first mirror trial with the male, this reaction occurred fiftean times during the first 60 sec, that is, once overy 4 sec. On this and subsequent trials on other days, the 'yawning' frequency decreased rapidly ta near zero a minute over the trial period of 10 min. However, as this response waned it gave way ta other, and perhaps lower intensity, behaviour patterns, also indicative of tension. Thus, the male began repeatedly to pick up in his fingers the standard food pellets lying in a bowl in his cage and rubbed thom repeatedly and for several seconds with a rolling motion between his two hands before nibbling the end of the pellet, without actually chewing any of it off, then finally letting the pellet drop to the floor and picking up another.[...]
chimpanze-mirror
 
KL. Hall présente, dans cet article de 1962, ses observations du comportement de singes captifs quand il se regardent dans un miroir. Il décrit, par exemple, des mouvements d'accroupissement ou d'extension avec redressement en bipédie, de larges ouvertures de bouche qui lui évoquent des bâillements. Variables suivant la distance au miroir, le sexe et l'âge, ces comportements sont répétés et communs à tous, témoins d'une grande tension anxieuse et interrogative.

richerand
Anthelme Balthasar
RICHERAND
De certains phénomènes de la respiration,
tels que les soupirs, les pleurs,
le bâillement
l'éternuement, la toux, le hoquet, le rire, etc.

« Nouveaux élémens de physiologie »
Paris 1817
Chez Caille et Ravier, libraires
Rue Pavée Saint-André-des-Arcs, n°17
tome premier, page 456-458 (7° edit)
 
Le bâillement : « Nul symptôme plus assuré de l'ennui, affection désagréable, qui, pour parler le langage de Brown, peut être regardée comme une puissance asthénique ou débilitante. Les muscles inspirateurs affaiblis ne dilatent qu'avec peine le thorax; les poumons resserrés sont difficilement perméables au sang, qui stagne dans les cavités droites du cœur, et produit une sensation incommode, que l'on ait cesser par une longue et forte inspiration : on favorise l'entrée d'une grande quantité d'air en ouvrant largement la bouche l'écartement des deux mâchoires. L'on bâille avant l'accès d'une fièvre intermittente, comme aux approches du sommeil, parce que les puissances inspiratrices, graduellement affoiblies, ont besoin d'être réveillées par intervalles. On bâille également quand on s'éveille , afin de monter les muscles du thorax au degré convenable à la respiralion, toujours plus lente, plus rare et plus profonde durant le sommeil que pendant la veille. C'est par un besoin analogue que l'instant du réveil est marqué chez tous les animaux par des pandiculations, action musculaire dans laquelle les muscles semblent se disposer aux contractions que les mouvemens exigent. C'est à la même utilité que l'on doit rapporter le chant du coq
et l'agitation de ses ailes; enfin c'est pour obéir à la même nécessité, qu'au lever du soleil, les nombreuses tribus des oiseaux qui peuplent nos bocages gazouillent à l'envi et font retentir les airs de chants harmonieux. Le poète croit entendre alors l'hymne joyeux par lequel le peuple ailé célèbre le retour du dieu de la lumière......»

blanche-neige

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Résultats du sondage
 
au 30 avril 2004

Nombre de questionnaires remplis : 1221
Combien de fois bâillez-vous par jour ? <5 = 25,8%.. 5-10 = 26,1%.. 10-15 = 15.3%.. 15-20 = 8.7%.. >20 = 24,1%
Ressentez-vous des baillements excessifs ?
72,9% = non, tant mieux
26,2% = oui et je ne sais pas pouquoi
6,5% = oui et je prends des antidépresseurs
1,2% = oui et je prends des anti-épileptiques
4,5% = oui et je prends d'autres médicaments
2,5% = oui et j 'ai des troubles neurologiques
2,3% = oui et j 'ai des troubles hormonaux
2,9% = oui et j 'ai des tics moteurs
1,9% = oui et j 'ai des tocs
déclenchez-vous facilement le bâillement d'autrui ? 75,3%
êtes-vous sensible au bâillement d'autrui ? 74%
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« Le physiologogiste et le clinicien, et tout savant en général qui crée la science, ne peut et ne doit peut-être voir qu'une partie du vaste problème à la solution duquel il travaille. Non seulement il doit espèrer trouver, mais il faut, quand il croit avoir trouvé, qu'il affirme bien haut et demeure convaincu, fût-il seul à l'être. »
Jules Soury
Les fonctions du cerveau
Lecrosnier & Babé éditeurs
Paris 1891
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écrits et réalisés par
le Dr Walusinski
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