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Dr O Walusinski
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samedi 1er avril 2006
la lettre d'information du site baillement.com N°48
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Walusinski O.
Psychologie et NeuroPsychiatrie
du Vieillissement
2006;4(1):39-46
 
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 yawning.info
 

Yawning: from birth to senescence
 
The yawn is one of the most underappreciated of behaviors. It is a stereotyped and often repetitive motor act characterized by gaping of the mouth accompanied by a long inspiration, a brief acme followed by a short expiration. The vigor of the act may increase arousal. Although socially offensive to many, yawns often bring pleasure to the yawner.
 
While infuenced by several neurotransmitters, yawning is strongly affected by dopamine. Dopamine activates oxytocin production in the paraventricular nucleus of the hypothalamus, oxytocin may then activate cholinergic neurotransmission in the hippocampus and the reticular formation of the brainstem. Acethylcholine induces yawning via the muscarinic receptors of effectors. Other neurotransmitters can modulate its occurence like serotonine, neuropeptides, hypocretin and sexual hormones.
 
The decrease of yawning in the elderly suggests an associated decrease of dopaminergic activity. Yawning and stretching have related phylogenetic old origins. Ethologists agree that most vertebrates yawn. Yawning is morphologically similar in reptiles, birds, mammals and fishs. They may be ancestral vestiges surviving throughout evolution with little variation. In the human embryo, yawning occurs as early as 12 weeks after conception and remains relatively unchanged throughout life.
 
Across the life span, night sleep undergoes several age-related modifications. Theses changes concern sleep duration and the amount of REM and NREM sleep. We can describe, for the duration of REM sleep, a curvilinear trend with a steep descending slope in the last time of fetus life and the first year of life, a plateau level across childhood and adulthood, slowly lowering until age. A parallel curve demonstrates the similarity of the evolution of yawn's frequency and the amount of REM sleep.
 
Thus, from ontogeny, phylogeny and this modeling approach emerges a pivotal link between yawning and REM sleep.
yawning.info 
Le bâillement: naissance, vie et sénescence
 
Le bâillement apparaît comme un modèle d'étude pertinent d'archéologie comportementale. L'échographie en découvre la précocité ontogénétique entre 12 et 15 semaines de grossesse. Phylogénétiquement ancien, l'éthologie le décrit comme un comport;ement stéréotypé retrouvé des reptiles aux poissons, des oiseaux aux mammifères.
 
Son universalité et sa survivance sans variation évolutive postulent tant de sa particulière importance que de sa nécessité developpementale, alors que la puissante contraction musculaire qui le caractérise a un coût métabolique élevé. Il naît du noyau paraventriculaire de l'hypothalamus qui projette vers le tronc cérébral et la moelle cervicale, sièges des centres moteurs exécutifs.
 
Cette origine hypothalamique et la nature des neuromédiateurs impliqués confirment son rôle dans l'homéostasie des systèmes stimulant l'éveil, grâce au rétrocontrôle que sa puissante contraction musculaire exerce sur la réticulée ascendante du tronc cérébral. Son ontogenèse accompagne l'apparition du sommeil paradoxal, première forme de sommeil.
 
Sa fréquence quotidienne suit une évolution parallèle à la proportion du temps passé en sommeil paradoxal tout au long de la vie. Présent de la naissance à la mort, sans modification morphologique, le bâillement a une valeur sémiologique comme témoin de l'activité du cerveau «reptilien» de l'Homme.

Lhermitte sign during yawning associated
with congenital partial aplasia
of the posterior arch of the atlas 
 
T. Sagiuchia, S. Tachibanaa, K. Satoa, S. Shimizua, I. Kobayashia, H. Okaa, K. Fujiia, S. Kanb
Department of Neurosurgery, Kitasato University School of Medicine, Sagamihara, Kanagawa, Japan
 
Am J Neuroradiol
2006; 27; 258-260


Lhermitte sign caused by yawning is a rare phenomenon
 
Lhermitte's sign is a shock-like sensation running down the spine, eventually spreading into legs or arms. It lasts only a second or two and is triggered by bending the neck forward. Lhermitte´s sign is frequent in people living with Multiple Sclerosis .
 
T. Sagiuchia et al. describe the case of a 26-year-old man who presented with symptoms compatible with Lhermitte sign that occurred during yawning.
 
It was associated with congenital partial aplasia of the posterior arch of the atlas. Cervical multisection-detector CT myelography during yawning showed compression of the upper cervical cord due to the inward mobility of the isolated posterior tubercle. The symptoms completely disappeared following removal of the isolated posterior tubercle.
 
lhermitte
Le signe de Lhermitte déclenché par le bâillement: un phénomène rare
 
Le signe de Lhermitte est une sensation de décharge électrique, descendante de l'arrière du cou vers le bas du corps et les quatre membres, durant quelques secondes, déclenchée par la flexion du cou. C'est signe assez fréquent au cours de la sclérose en plaques.
 
T. Sagiuchia et al. décrivent l'observation d'un homme de 26 ans qui présentait un tel symptôme déclenché par ses bâillements.
 
Il présentait une aplasie congénitale partielle de l'arc postérieur de l'Atlas. Une IRM réalisée dans les différentes positions suivies par le rachis cervical au cours du bâillement révèla une compression de la moelle cervicale par un tubercule osseux postérieur mobile. Une résection chirugicale osseuse fit disparaitre ce symptôme gênant.

Jean Lhermitte
1877 - 1959
 
Les douleurs à type de décharge électrique consécutives à la flexion céphalique dans la sclérose en plaques
Un cas de sclérose multiple
Lhermitte J, Bollak J, Nicolas M.
Revue Neurologique
1924; 31; 56-62
 
Le signe de Lhermitte
J. Cambier
La Presse Médicale
1993; 22; 32; 1611-1614
 
Modern neuropsychology in France:
Jean Lhermitte
F. Boller
Cortex
2005; 41, 740-741
 
La douleur à type de décharge électrique, provoquée par la flexion de la tête et parcourant le corps de haut en bas
Alajouanine T, Thurel R, Papaïoanou
Revue Neurologique
1949; 81; 2; 89-97
 
Lhermitte's sign
From observation to eponym
Gutrecht JA.
Arch Neurol
1989; 46; 5; 557-558

The Lhermitte's sign
 
signe jean lhermitte
 
Jean Lhermitte (1877-1959) was a prominent neurologist and is known all over the world for having described a characteristic phenomenon, Lhermitte's sign also called Barber Chair phenomenon, whereby flexing of the neck produces electric shock-like sensations that extend down the spine and shoot into the limbs. He described it in a patient with multiple sclerosis (Lhermitte et al., 1924; Lhermitte, 1929), but it is known to be caused also by trauma to the cervical portion of the spinal cord, cervical cord tumors, cervical spondylosis, or even vitamin B12 deficiency.
 
The Lhermitte's sign was first described by Pierre Marie and Chatelin in 1917. Lhermitte reported on this symptom in 1920, and in 1924 he published the seminal article on the subject. In 1928, it was introduced to the American literature, and it was around that time that the symptom became well known. The historic development of this observation into an eponym is documented.
 
 
Jean Lhermitte (1877-1959) fut un maitre de la neurologie et reste universellement connu pour avoir décrit le signe qui porte son nom. Il décrivit ce symptôme chez une malade développant une sclérose en plaques mais le signe de Lhermitte peut aussi être retrouvé après des traumatismes, lors de tumeurs, de spondylites de la moelle cervicale, mais aussi au cours de la maladie de Biermer.
 
Les premières descriptions ont été faites par Pierre Marie et Chatelin en 1917, chez des blessés du cou au cours de la grande guerre. Ils rapportaient la symptomatologie à une atteinte radiculaire. C'est en 1924, à partir de l'observation d'une femme atteinte d'une sclérose en plaques que J. Babinski rapporte ce signe à une atteinte centrale médullaire, secondaire à une démyélinisation, le comparant au signe de Tinel.
 
Lhermitte's sign: Flexing of the neck produces electric shock-like sensations that extend down the spine and shoot into the limbs.
Lhermitte's syndrom: A rare syndrome of ocular palsy with nystagmus and paralysis of adduction during attempted lateral deviation of the eyes.
Lhermitte-Cornil-Quesnel syndrome: A slowly progressive pyramidopallidal degeneration.
Lhermitte-Duclos syndrome: A rare pathologic entity with progrediating, diffuse hypertrophy chiefly of the stratum granulosum of the cerebellum.
Lhermitte-Lévy syndrome: A syndrome of slowly progressing paralysis after a stroke.
Lhermitte-McAlpine syndrome: A combined pyramidal and extrapyramidal tract syndrome in middle-aged and elderly persons.
Lhermitte-Trelles syndrome: A syndrome characterised by lymphoblastic infiltrations of the peripheral nervous system, associated with paresis and amyoptrophia.

lhermitte

Le sommeil par Jean Lhermitte 1931
 
Les recherches expérimentales que nous venons de résumer à grands traits se superposent si exactement dans leurs résultats avec les constations cliniques et anatomo-cliniques que nous avons exposées précédemment qu'il est, à la vérité, impossible de penser qu'il s'agit d'une coïncidence fortuite ou d'un fait de hasard. Aussi bien chez l'homme que chez l'animal les modifications brusques ou lentes de cette partie du cerveau qui se trouve située à la partie orale de l'aqueduc de Sylvius et s'étend en avant jusqu'au chiasma optique, déterminent un réflexe spécial dont l'endormissement et le sommeil profond sont la conséquence.
 
Il s'agit bien ici, nous ne saurions trop le répéter, d'un état tout à fait semblable au sommeil naturel, puisqu'il s'avère réversible et accompagné de tous les phénomènes prémonitoires et consécutifs que nous savons être la caractéristique du sommeil naturel.
 
Mais il y a plus, et dans deux observations du plus grand intérêt Clovis Vincent (1879-1947) a pu constater lui-même, au cours d'interventions chirurgicales sur la base du cerveau, qu'il suffisait avec la pointe d'un stylet mousse d'exciter légèrement la région péri-infandibulaire pour que le sujet s'endorme après avoir présenté des bâillements, des pandiculations et même parfois avoir exprimé lui-même l'envie qu'il ressent de s'endormir. Il existe donc, à n'en pas douter, une région sensible à la base du cerveau en rapport très étroit avec un dispositif régulateur de la fonction du sommeil et de la veille, ainsi que nous l'avons soutenu avec A. Tournay.

dauvilliers
 
Weinberg's syndrome: a disorder of attention and behavior problems needing further research
Brumback RA
Child Neurol
2000; 15; 7; 478-480
 
Effectiveness of iron supplementation in a young child with attention-deficit/hyperactivity disorder.
Konofal E, Cortese S, Lecendreux M, Arnulf I, Mouren MC
Pediatrics
2005;116(5):e732-734

Les troubles du sommeil et de l'éveil font partie des motifs les plus fréquents de consultation auprès du médecin de famille. La médecine du sommeil est parmi les plus jeunes des spécialités, née voici une cinquantaine d'années.
 
La somnolence est un trouble négligé, tant des patients que des praticiens, alors qu'elle est la cause de près de 20% des accidents de la circulation.
 
Le diagnostic de narcolepsie est fait en moyenne dix ans après l'apparition de la maladie !
 
Les apnées du sommeil sont un facteur de risque cardio-vasculaire majeur, pouvant expliquer des HTA rebelles aux traitements, chez l'adulte. Elles majorent les déterriorations neuro-psychiques des sénescents de façon insidieuses et silencieuses bien que souvent associées à une ronchopathie assourdissante pour l'entourage.
 
Chez l'enfant, associées à un carence en fer, elles se manisfestent plus souvent par des troubles caractériels, une agitation, des bâillements répétés et rarement par une somnolence. Pourtant, les sédatifs sont encore trop souvent abusivement prescrits de façon délétère pour cette pathologie. "The most obvious clinical feature was the difficulty in maintaining wakefulness and alertness as evidenced by motor restlessness (fidgeting and moving about, yawning and stretching, talkativeness) and complaints of tiredness."
 
Un ouvrage exhaustif, en langue française, manquait pour permettre à tous les praticiens de bien connaître toutes les pathologies de l'éveil et du sommeil. En 396 pages l'équipe de Montpellier (M. Billard et Y Dauvilliers) a réussi à donner de façon claire et concise les clefs pour que chacun puisse appréhender toutes les données les plus récentes de cette jeune spécialité. A posséder impérativement dans toutes les bibliothèque des médecins et à lire...

delasiauve
Louis Delasiauve
1804-1893
 
Médecin aliéniste. Reçu docteur en médecine à Paris en 1830, Delasiauve exerce huit années à Ivry-la-Bataille, puis entre sur concours à Bicêtre comme médecin-adjoint. Il y dirige la section des épileptiques et enfants arriérés, jusqu'à sa mutation à la Salpêtrière où il aura la charge de la section des épileptiques et des idiotes.
 
Télécharger le Traité de l'épilepsie
 
 
delasiauve
 
Bâillements et épilepsie
Yawning and seizure
 
temkin
 
His last book:
"Forgetfulness, legs that restrict me to a wheelchair, and fingers that refuse to do their job, above all writing properly: all these have conspired to isolate me from libraries, including my own, and prevent me from consulting the literature, citing exact references, and giving credit to all those to whom credit is due. In short, they have put an end to the kind of work I used to do. "

Traité de l'épilepsie 1854
 
"L'espèce humaine ne connaît pas d'infirmité plus repoussante, plus mystérieuse dans ses origines, plus fantasque dans sa marche, que la cruelle maladie désignée sous le nom d'épilepsie. Si l'on contemple les secousses profondes, les chutes foudroyantes, tout l'ensemble d'accidents formidables qui en caractérisent les accès, on conçoit aisément qu'à des époques de ténèbres on ait pu voir dans cette agitation irrésistible, qui éteignait spontanément toute sensation interne et externe, des signes du courroux céleste, et qu'on ait considéré les épileptiques, non comme des infortunés à secourir, mais comme des maudits à séquestrer."
esquirol
Epilepsie, Esquirol, des maladies mentales Atlas 1838.
 
"Ces prodromes sont fort capricieux dans leur manifestations. des douleurs plus ou moins vives à la tête, des vertiges, des éblouissements de la pesanteur dans les idées, des bâillements réitérés, une tendance au sommeil; parfois de l'exaltation, de la tristesse ou de l'irritation, des visions bizarres, de la divagation, de la loquacité, du mutisme, de l'impatience, de la colère; tels sont les phénomènes multipliés, incohérents et les plus ordinaires par lesquels ils se produisent."
 
 
Louis Delasiauve (1804-1893) arrived at the following classification:
 
"1. Essential or idiopathic epilepsy, manifesting itself merely in functional deviations, without lesion, corresponding to simple nervous afflictions and, in a word, constituting a veritable neurosis.
 
2. Symptomatic epilepsy, belonging to a more or less appreciable cerebral lesion, the convulsive spasm being here the symptom and not the disease.
 
3. Finally a third epilepsy, called sympathetic, produced by the irradiation of abnormal impressions which can have their seat in all parts of the body except the brain or its appendages."
 
In this scheme, symptomatic and sympathetic epilepsy were considered on a par with idiopathic epilepsy, all three forms constituting "epilepsy."
 
temkin
Owsei Temkin was professor of the history of medicine at Johns Hopkins University and former director of the Johns Hopkins Institute of the History of Medicine
The falling sickness:
a history of epilepsy from the greeks to the beginnings of modern neurology
The Johns Hopkins press, Baltimore 1945-1971
temkin
Owsei Temkin (1902-2002)
 
Over the course of a career spanning most of the twentieth century, distinguished historian Owsei temkin has argued passionately for the necessity of chronicling and analyzing the history of medicine.
 
Owsei Temkin presents the history of epilepsy in Western civilization from ancient times to the beginnings of modern neurology. First published in 1945 and thoroughly revised in 1971, this classic work by one of the history of medicine's most eminent scholars now returns to print in a new softcover edition.
 
"A JAMA reviewer hailed the 1945 first edition of The Falling Sickness as a reference work with 'no historical rival' which 'occupies a seperate shelf in the reviewer's Library of Fame.' A revised second edition, published in 1971, increased the bibliography from a hefty 706 references to a weighty 1120. The number of footnotes, many in French, Latin, or Greek, multiplied from 1721 to 2073! The review of the second edition deemed Tempkin's intensely researched and well-organized historical work 'magnificient'.
Early accounts of epilepsy: a synopsis (Historical note) J M S PEARCE
J Neurol Neurosurg Psychiatry 1998;64:679


ane

Le bâillement, du réflexe à la pathologie
Le bâillement : de l'éthologie à la médecine clinique
Le bâillement : phylogenèse, éthologie, nosogénie
 Le bâillement : un comportement universel
La parakinésie brachiale oscitante
Yawning: its cycle, its role
Warum gähnen wir ?
 
Fetal yawning assessed by 3D and 4D sonography
Le bâillement foetal
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Fetal yawning assessed by 3D and 4D sonography
Le bâillement foetal
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 au 31 mars 2006

Plus de 2000 réponses
 
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Ressentez-vous des baillements excessifs ?
66,2% = non, tant mieux
28,1% = oui et je ne sais pas pouquoi
8% = oui et je prends des antidépresseurs
1% = oui et je prends des anti-épileptiques
4,7% = oui et je prends d'autres médicaments
2,9% = oui et j 'ai des troubles neurologiques
2,2% = oui et j 'ai des troubles hormonaux
2,6% = oui et j 'ai des tics moteurs
2% = oui et j 'ai des tocs
déclenchez-vous facilement le bâillement d'autrui ? 74,8%
êtes-vous sensible au bâillement d'autrui ? 73,3%
 
Wilder PENFIELD
The Mystery of the Mind : 
A Critical Study of Consciousness and Human Brain.
Princeton University Press
1975.
 
Mind, brain, and body make the man, and the man is capable of so much !
 
Capable of comprehension of the universe, dedication to the good of others, planned research, happiness, despair, and eventually, perhaps, even an understanding of himself.
 
He can hardly be subdivided. Certainly, mind and brain carry on their function normally as unit.
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