Le bâillement, du réflexe à la pathologie
Le bâillement : de l'éthologie à la médecine clinique
Le bâillement : phylogenèse, éthologie, nosogénie
 Le bâillement : un comportement universel
La parakinésie brachiale oscitante
Yawning: its cycle, its role
Warum gähnen wir ?
 
Fetal yawning assessed by 3D and 4D sonography
Le bâillement foetal
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Fetal yawning assessed by 3D and 4D sonography
Le bâillement foetal
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mise à jour du
5 septembre 2010
 
 
Paul Berbez
1859 - ?
 
 O. Walusinski
 
Les internes de JM. Charcot
 
 Les biographies de neurologues
 
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L'histoire des neurosciences à La Pitié et à La Salpêtrière J Poirier
 
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paul berbez
extrait de
Une leçon de Charcot à La Salpêtrière
tableau de André Brouillet 1887
 
Paul-Adrien Berbez (15/09/1859 - ?), déjà externe chez Charcot en 1882, succède à Guinon en 1886. Il a son portrait peint par Brouillet dans La Leçon à la Salpêtrière, où il est assis à la droite de Brissaud, en avant de Jean-Baptiste Charcot (21). Sa thèse, soutenue devant Charcot en 1887, rapporte les expériences sur l'hystérie : « Hystérie et traumatisme, paralysies, contractures, arthralgies, hystéro-traumatisme ». Influencé par la lecture du livre de Claude Bernard (1813-1878), «L'introduction à la médecine expérimentale», paru en 1865, Charcot a encouragé l'écriture de cette thèse afin d'expliciter l'interprétation physiologique qu'il veut donner aux phénomènes qu'il décrit, et marquer ainsi qu'il s'est détaché de l'empirisme de ses prédécesseurs.
 
paul berbez
Paul Berbez en 1886
  © Extrait de l'Album de l'internat de La Salpêtrière conservé à la Bibliothèque Charcot à l'hôpital de la Salpêtrière
(Université Pierre et Marie Curie, Paris)  
 
En 1887, Charcot et Richer publient « Les démoniaques dans l'art ». Pierre Marie, dans sa critique de La Revue Neurologique de 1887, commente : « Ils ont soumis celles-ci (cf les œuvres d'art) à une analyse délicate qui, séparant ce qu'avait créé la seule imagination de ce qui était le fruit d'une observation éclairée, et quelquefois géniale, leur a permis d'établir la valeur documentaire de ces diverses œuvres. Ils ont ainsi montré, d'une façon irréfutable, que les prétendues convulsions des démoniaques n'étaient que des attaques hystéro-épileptiques et, qu'à ce point de vue, les caractères de l'hystérie dans les siècles passés ne différaient en rien de ceux qu'on observe aujourd'hui » (55).
 
Les fiches d'internat de Paul Berbez
paul berbez
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